David J. Richalet, photographe
Rencontres
de David J. Richalet
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Acerca del libro
« Rencontres » donne à voir les portraits de Sammy, Kitso, Jake, Kagiso, Kabali, Leonard et Kwena rencontrés en Afrique du Sud, Au Botswana et en Namibie. (se reporter aux légendes photos).
« Rencontres », c’est aussi des photographies de personnes que David J. Richalet n’a pas rencontré. Ces photographies en couleur s’opposent aux portraits en noir et blanc, et dénoncent l’impossibilité de photographier des personnes avec qui il n’y a eu aucun échange émotionnel.
Cet absence de point de vue et d’échange est représenté par la perte totale de l’implication du photographe dans ce qu’il fait : l’échange entre les protagonistes (le photographe et le photographié) est ici implicitement montré.
David J. Richalet montre la difficulté, l’impossibilité, qu’il ressent à photographier des personnes avec qui il a eu une « absence de rencontre ». Ces photographies africaines racontent son métier de photographe.
« Je roule. Santa Lucia – station balnéaire photogénique, s’il en est, et ses surfers nostalgiques des 60’s- se trouve derrière moi. Encore quelques centaines de kms et ce sera Durban – ville à la sombre réputation mais promise à un avenir radieux. Entre ces 2 lieux, je ne m’attarde pas. Je roule.
Absence d’intérêt peut être, de temps certainement. Je dois ramener des photos , tout est programmé à l’avance. Je ne prête aucun intérêt à cet espace entre ces deux points. Je croise des hommes et des femmes qui travaillent, vivent et que je ne connais pas. Alors je les photographies sans même m’arrêter à travers la vitre de mon 4X4 japonais ; sans les connaître, sans leur parler – photos volées donc floues dans mon esprit … ; à ce moment je ressens un manque de communication qui me pousse à faire ces photos afin de l’exprimer visuellement. »
« Rencontres », c’est aussi des photographies de personnes que David J. Richalet n’a pas rencontré. Ces photographies en couleur s’opposent aux portraits en noir et blanc, et dénoncent l’impossibilité de photographier des personnes avec qui il n’y a eu aucun échange émotionnel.
Cet absence de point de vue et d’échange est représenté par la perte totale de l’implication du photographe dans ce qu’il fait : l’échange entre les protagonistes (le photographe et le photographié) est ici implicitement montré.
David J. Richalet montre la difficulté, l’impossibilité, qu’il ressent à photographier des personnes avec qui il a eu une « absence de rencontre ». Ces photographies africaines racontent son métier de photographe.
« Je roule. Santa Lucia – station balnéaire photogénique, s’il en est, et ses surfers nostalgiques des 60’s- se trouve derrière moi. Encore quelques centaines de kms et ce sera Durban – ville à la sombre réputation mais promise à un avenir radieux. Entre ces 2 lieux, je ne m’attarde pas. Je roule.
Absence d’intérêt peut être, de temps certainement. Je dois ramener des photos , tout est programmé à l’avance. Je ne prête aucun intérêt à cet espace entre ces deux points. Je croise des hommes et des femmes qui travaillent, vivent et que je ne connais pas. Alors je les photographies sans même m’arrêter à travers la vitre de mon 4X4 japonais ; sans les connaître, sans leur parler – photos volées donc floues dans mon esprit … ; à ce moment je ressens un manque de communication qui me pousse à faire ces photos afin de l’exprimer visuellement. »
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